• Hello mes pancakes !

    Je suis trop contente de vous présenter mon premier unboxing officiel, et pas avec n'importe quels articles s'il vous plait ! Mon fangirl des VIXX a encore frappé haha...

    Bref j'espère que la vidéo vous plaira ! Moi quand j'ai fais le montage, je me suis faite sourire toute seule xD

    Bon visionnage


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  • Bon Samhain à tout le monde !

    Je suis très fière de vous présenter mon premier lookbook pour Samhain : 3 tenues de sorcière moderne ! Ce sont des tenues que je mets au quotidien, celles qui me représentent, dans lesquelles je me sens totalement bien et totalement moi.

    J'espère que la vidéo vous plaira car j'ai pris beaucoup de soin et de plaisir à la monter, à la tourner et à choisir les musiques. Encore merci à ma camérawomen Mari pour m'avoir assistée !

    Personnellement ma tenue préférée reste la dernière, car c'est souvent celle que je mets lors de mes rituels et mes sabbats.

    Et vous quelle est la votre ? Comment fêterez-vous Samhain ? Personnellement je vais être en sabbat tout la journée et aller en foret remercier la Déesse.

    Bless you, wizards and witches !

    )o(

     


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  • C'est une phrase que l'on prononce souvent, même si elle est parfois formulée différemment : "Je meuuuuurs", "je suis au bout de ma vie" ou encore "fin de moi."

    Nous faisons souvent allusion à la mort pour souligner notre bonheur, qu'il soit futile ou exponentiel. Mais depuis quand la mort est devenu quantitatif de la qualité d'un bonheur ? "MDR" me direz-vous ? "Mort de rire", donc rire tellement que l'on en meurt ? Soit, je conçois ce sens.

    Pourtant, "je sens ma vie qui s'échappe" est utilisé dans tellement d'autre contextes.

    On meurt de bonheur.

    On meurt d'orgasme.

    On meurt de douleur.

    On meurt d'excitation, d'amour, de déprime.

    On sent sa vie qui s'échappe quand on perd le contrôle de cette dernière. Quand on sent le voile de sa vie glisser entre nos mains, quand on vie sans plus contrôler quoi que ce soit

    On sent sa vie qui s'échappe quand notre bien-être évolue, quand on trouve l'apaisement. On s'élève vers cette douceur inconnue effrayante et envoutante, car nous vivons un nouveau bien que nous ne connaissions pas.

    Moi depuis des mois, et même un peu plus, je sens ma vie s'enfuir, s'éloigner de moi vers des comètes inconnues, et je n'ai plus le contrôle de sa trajectoire.

    "Je n'ai pas le temps de vivre" comme dit si bien Mylène Farmer, phrase que je me répète depuis un certain -long- temps en la ressentant dans son entièreté au plus profond de moi-même. Je fais et fais et me retrouve prise dans une boucle donc je ne peux et ne veux sortir. Une boucle qui m'étouffe et me fait vivre/survivre à la fois.

    Car je me sens aussi m'ouvrir, je sens mon âme fleurir rapidement. Bon plus en ce moment (quoique...) mais durant plus d'un an j'ai senti cet engouement permanent, je constatais mes propres regrets à une vitesse phénoménale m'obligeant à tout revoir constamment.

    Je ne sais pas vous mais je suis toujours admirative et dubitative devant la capacité/bêtise du cerveau humain à voir les choses complètement différemment du jour au lendemain.  On a la même façon de voir depuis des années et là après avoir entendu une phrase, lu un livre, BOUM, tout change. J'adore ce phénomène, j'y suis très réceptive, les changements sont permanents chez moi. Mais ça me fait enrager quand je comprends un truc qui me change la vie à chaque fois je me dis "mais putain si j'avais compris avant ça aurait été tellement plus simple!", et c'est parfois un peu dur à vivre car je dois tout changer en permanence, parfois même dans la ré-organisation de ma vie. Oui ça à l'air compliqué comme ça mais je me gère toute, ne vous en faîtes pas pour moi !

    Bref un petit article un peu vide de sens, il s'agissait plus d'une petite réflexion à partager.

    Bonne prochaine nuit à vous et faites-y de beaux rêves.


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